Jean Giono, « Je ne peux pas oublier », revue Europe, 1934
Il n’y a qu’un seul remède : notre force. Il n’y a qu’un seul moyen de l’utiliser : la révolte.
Nous savons donc maintenant très nettement de quoi il s’agit. L’état capitaliste a besoin de la guerre. C’est un de ses outils. On ne peut tuer la guerre sans tuer l’état capitaliste.