Guerre
Lettre à des amis « rojavistes »
Comme toute situation sociale dans ce monde capitaliste, l’expérience au Rojava est traversée par des contradictions de classes. Bien qu’il soit difficile de les mesurer, d’en connaître exactement les dynamiques et les acteurs, des questions s’imposent : Quelles sont les transformations en cours ? Où se cristallisent les contradictions, quels acteurs sont à l’œuvre ? Quels sont les rapports de force qui se sont constitués ? Quel écart entre les discours et les intérêts réels ? Entre nos désirs de révolution et les limites qu’ils rencontrent ? Quid du prolétariat ? Quelle est notre vision de la révolution ? Etc.
Les anarchistes contre la guerre
Jusqu’en juin 1914, anarchistes, syndicalistes révolutionnaires et socialistes européens campent sur de fermes positions d’antimilitarisme, d’internationalisme et de refus de la guerre, et proposent en cas de conflit de déclencher une grève générale dans tous les pays concernés. Mais voilà qu’un mois plus tard, alors qu’éclate la Première Boucherie mondiale, beaucoup optent pour le soutien à leur gouvernement national respectif !
Je ne peux pas oublier
Nous savons donc maintenant très nettement de quoi il s’agit. L’état capitaliste a besoin de la guerre. C’est un de ses outils. On ne peut tuer la guerre sans tuer l’état capitaliste.
Le Coût de la guerre
Ce petit recueil présente trois articles de Marie Louise Berneri inédits en français, sortis dans le journal “War Commentary” pendant la Seconde Guerre mondiale.